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Recyclage plastique
Comment réutiliser le plastique
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Pollution, quel impact sur la faune et la flore marine ?

Ecologie sous-marine

Ecologie sous-marine

ÉCOLOGIE MARINE ET IMPACT SUR LES ANIMAUX

Des millions d’animaux marins, dont des espèces migratrices de baleines, de dauphins, de tortues de mer, d’oiseaux marins, de phoques, de dugongs, de requins et de raies, qui parcourent souvent de grandes distances dans les océans, sont de plus en plus souvent blessés ou même tués après avoir ingéré des débris marins ou s’y être enchevêtrés.

D’après les rapports, 192 espèces, parmi lesquelles 45 pour cent de mammifères marins, dont 58 pour cent des phoques, 21 pour cent des oiseaux marins et 100 pour cent des tortues de mer, sont affectés par le problème de l’enchevêtrement.

Les animaux peuvent se noyer ou souffrir d’hémorragie interne suite à l’ingestion d’objets tranchants. Par ailleurs, les débris marins peuvent affecter la capacité de l’animal à se nourrir à cause du volume réduit de son estomac, ce qui entraîne la famine. Des maladies peuvent également apparaître lorsque le système immunitaire est constamment endommagé.

Des filets dits « fantômes », abandonnés ou perdus accidentellement, très résistants, sont une cause de mortalité importante chez les animaux ; les associations estiment à 100.000 le nombre de mammifères marins et à un million celui des oiseaux qui meurent par étranglement.

Pour préserver le milieu marin, l’immersion et l’incinération des déchets en mer sont interdites.
Alors protégeons nos animaux marins , il suffit que chaque individu, chaque entreprise fasse un petit effort !!!! et nous pourrons les préserver.

ECOLOGIE DES PAYS

Pour éviter les pollutions, les agglomérations doivent traiter leurs eaux usées, avant leur rejet dans le milieu marin. Les industries, qui sont responsables de leurs rejets, doivent également organiser l’assainissement de leurs eaux usées. Elles peuvent aussi mettre en place des technologies propres qui permettent d’économiser l’eau et donc de diminuer les quantités d’eaux usées.
La gestion des déchets ne doit ni mettre en danger la santé humaine, ni nuire à l’environnement. Elle ne doit pas créer de risque pour l’eau, l’air, le sol, la faune ou la flore, provoquer de nuisances sonores ou olfactives, porter atteinte aux paysages et aux sites présentant un intérêt particulier.
En matière d’économie verte, c’est la Suède qui est la grande gagnante, suivie de la Norvège et du Costa Rica. La France occupe la 13e place du classement, tandis que les dernières places reviennent à la Chine, la Pologne, le Sénégal, le Qatar, le Vietnam et la Mongolie.
Suède, Norvège, Danemark, Finlande et Islande : avec cinq pays dans le Top 10, les pays scandinaves (au sens large) sont les plus efficaces. Quant à l’Allemagne, qui est perçue comme le pays le plus vert, elle occupe en réalité la quatrième place.
Les déchets font l’objet de réglementations européennes et françaises qui définissent les différents types de déchets et fixent comme priorité la prévention et la réduction de la production de déchets.
Un plan national de réduction et de valorisation des déchets a été élaboré pour la période 2014-2020. Il fixe dix axes d’action, notamment : accentuer la prévention des déchets, mobiliser les producteurs pour l’éco-conception de leur produits, valoriser les biodéchets, mobiliser le entreprises et les administrations pour le tri et la valorisation matière de leurs déchets, impliquer le citoyen dans le geste de tri.

COMMENT RECYCLER LE PLASTIQUE

Dans un pays comme la France, où chaque habitant produit entre 450 et 550 kg de déchets par an, il est essentiel de trouver des façons de recycler et réutiliser les produits comme le plastique.

Lessbénéfices d’un bon tri du plastique de la part des consommateurs sont remarquables : tout d’abord cela permet de faire des économies, avec une réduction de l’accumulation de plastiques résiduels, on diminue la pollution et les risques écologiques. En aidant au recyclage des plastiques, chaque citoyen peut réduire les tonnages et la nocivité.
Les plastiques nous envahissent. En voici quelques exemples : les films plastiques sont partout et on en utilise 1 million de tonnes par an en France dont 90 % sont enfouis et non recyclés.
Le recyclage du plastique commence par la collecte. Les déchets sont amenés au centre de tri, où ils sont triés selon leur composition (PET ou PeHD).
Puis ils sont compactés pour être emmenés dans un centre spécialisé. Les bouteilles en PET sont secouées pour que les plus petits éléments partent, puis les étiquettes sont décollées grâce à la vapeur d’eau. Après ça, les bouteilles sont broyées en « paillettes », qui sont mises dans l’eau : les paillettes de bouchons flottent, celle de bouteille coulent. C’est comme ça que l’on spécialise le tri. Après avoir nettoyé ces paillettes, elles sont prêtes pour être réutilisées.
Les paillettes propres servent à produire toute une gamme de produits : fibres, rembourrage de couettes et sacs de couchage, moquettes, polaires, … Pour produire de nouvelles bouteilles, les paillettes doivent être de nouveau traitées chimiquement pour en retirer les contaminants.
Le plastique représente 11 % des déchets. Pour l’ONU, le recyclage du plastique représente un enjeu crucial et suscite de nombreux enjeux :
• pour la faune et la flore : dans la nature, le plastique met entre 100 et 1 000 ans à se dégrader
• pour l’énergie :
• permet de faire des économies de carburant : 1 kg de film plastique = 0,8 kg de pétrole brut gagné,
• permet de réduire l’emprunt énergétique des professionnels : 22 millions de tonnes de plastiques par an,
• permet de produire de l’énergie : 50 % de la production de plastique recyclé = 5 millions de kilowattheures d’énergie,
• pour fabriquer de nouveaux objets : 1 bouteille = 7 cartes à puce,
• pour créer et alimenter des emplois : 120 chercheurs français + 6 unités de traitement de plastique,
• pour s’éclairer : 1 sac en plastique = la mise en fonction d’une ampoule de 60 watts durant 10 minutes.
Pour recycler le plastique, il faut avant tout que le consommateur trie lui-même ses bouteilles. Il n’est pas nécessaire de retirer les étiquettes. Il suffit de jeter ses bouteilles dans un conteneur approprié, particulier ou collectif.
En revanche, il faut veiller à ne jamais placer dans ces conteneurs :
• des emballages en plastiques,
• des emballages légers (pots de yaourt),
• ou encore des barquettes en polystyrène.
Ces déchets ne sont pas recyclés.

Alors mettons nous tous au tri, notre planète sera encore plus verdoyante, plus propre, plus respirable et nous aurons des eaux qui ne détruiront pas les fonds marins et les animaux !!!!! Je compte sur vous .